Ceci est une version HTML d'une pièce jointe à la demande d'accès à l'information 'Documents relatifs à l'AMI Solutions d'IA pour le public'.


Direction 
interministérielle 
du numérique 
 
Paris, le 7 avril 2025 
Appel à manifestation d'intérêt (AMI) 
« Solutions d'IA pour le public » 
Cahier des charges 
Préambule  
À la suite du Sommet pour l’Action sur l’IA des 10 et 11 février 2025 et des conclusions du 
Comité interministériel de l’intelligence artificielle du 6 février 2025, il a été décidé d’accélérer 
la  transformation  numérique  des  administrations  publiques  en  mobilisant  l’intelligence 
artificielle (IA) comme levier. 
 
L’utilisation de l’IA par les organismes publics est encouragée afin d’améliorer leur efficacité, 
leur productivité et leurs capacités d’innovation, au bénéfice de la société dans son ensemble. 
Toutefois,  malgré  son  potentiel,  plusieurs  freins  subsistent  quant  à  son  adoption  dans  le 
secteur public, notamment : 
•  Les préoccupations liées à son acceptabilité : la méfiance envers l’IA et la crainte de ses 
effets sur l’emploi, l’environnement ou la démocratie peuvent ralentir son intégration. 
•  Les défis techniques et opérationnels : la mise en œuvre de systèmes d'IA nécessite des 
ajustements en matière d’infrastructures, de gestion des données et de formation des 
agents publics. 
•  Les enjeux réglementaires et éthiques : l’usage de l’IA dans l’administration doit être 
conforme  aux  principes  de  transparence,  de  sécurité,  de  protection  des  données 
personnelles  (RGPD)  et  de  souveraineté  numérique,  garantissant  ainsi  un  cadre 
d’utilisation respectueux des droits des usagers et des impératifs stratégiques de l’État. 
 
L’un  des  moyens  les  plus  efficaces  pour  lever  ces  obstacles  est  de  favoriser  le  partage 
d’expériences  et  la  diffusion  de  cas  d’usage  concrets.  Mettre  en  lumière  des  solutions 
éprouvées et déployées dans un cadre réel permet de : 
•  Démontrer les bénéfices tangibles de l’IA dans l’amélioration des services publics ; 
Mél : xxxxx@xxxxxxxxx.xxxx.xx 
20, avenue de Ségur - 75007 Paris 

•  Renforcer  la  confiance  des  administrations  et  des  usagers  en  illustrant  des  usages 
responsables et maîtrisés ; 
•  Faciliter la réplicabilité et l’essaimage des solutions en donnant aux administrations des 
références concrètes sur lesquelles s’appuyer. 
 
Dans  ce  contexte,  le  Ministère  de  l’Action  publique,  de  la  Fonction  publique  et  de  la 
Simplification et le Ministère en charge de l’Intelligence artificielle et du Numérique lancent un 
appel à manifestation d’intérêt (AMI) destiné à recenser, promouvoir et faciliter l’adoption de 
solutions d’intelligence artificielle générative (IAG) adaptées aux besoins du secteur public. 
Article 1 – Objet et périmètre  
Le présent appel à manifestation d’intérêt (AMI) a pour objet d’identifier et de valoriser des 
solutions  d’intelligence  artificielle  générative  (IAG)  opérationnelles  et  disponibles  sur  le 
marché,  fondées  sur  l'open  source  ou  non,  susceptibles  d’être  mobilisées  par  des 
administrations centrales, déconcentrées, opérateurs de l’État ou collectivités territoriales, en 
fonction  de  leurs  compétences  et  besoins  propres,  afin  d’optimiser  leurs  processus, 
d’améliorer leur efficacité et d’accroître la qualité du service rendu aux usagers. 
Les solutions éligibles doivent impérativement : 
•  Être  commercialisées  et  industrialisées,  avec  des  métriques  d’impact  disponibles, 
garantissant leur efficacité et leur fiabilité ; 
•  Pouvoir être mises en œuvre sans nécessité de compétences techniques avancées, ou 
constituer des briques technologiques facilitant l’intégration et le déploiement de l’IA 
au sein des systèmes d’information publics ; 
•  Être  conformes  aux  cadres  réglementaires  en  vigueur,  notamment  en  matière  de 
protection des données personnelles, de cybersécurité (RGPD, etc.) et d’accessibilité 
numérique. 
 
Domaines thématiques visés  
 
Les contributions attendues peuvent relever de deux grandes catégories : 
 
1.  Solutions applicatives directement utilisables par les administrations  
 
Ces  solutions  doivent  permettre  aux  services  publics  de  tirer  parti  de  l’IA  sans  besoin  de 
recourir  à  des  profils  techniques  pour  en  assurer  la  mise  en  place,  l'adaptation  ou  la 
maintenance. Exemples : 
•  Agents conversationnels facilitant notamment l’interaction entre les administrations et 
les usagers ; 
•  Outils  de  traduction  automatique  pour  améliorer  l’accessibilité  des  services  publics 
multilingues ; 
2/9 

•  Reconnaissance  et  transcription  vocale  (speech-to-text)  permettant  la  conversion 
automatisée des échanges oraux en documents exploitables ; 
•  Synthèse  documentaire  et  aide  à  l’analyse  de  textes,  accélérant  le  traitement  des 
dossiers et la prise de décision ; 
•  Détection  de  fraude  et  d’anomalies,  renforçant  la  capacité  des  administrations  à 
identifier les comportements frauduleux et à assurer une meilleure gestion des risques ; 
•  Aide  à  la  production  et  à  l’optimisation  de  code  informatique,  contribuant  à  la 
modernisation des outils numériques de l’administration. 
 
2.  Briques technologiques facilitant l’adoption et le déploiement de l’IA 
 
Ces solutions doivent permettre aux administrations d’intégrer et d’exploiter des technologies 
IA avancées au sein de leurs propres infrastructures. Exemples : 
•  Inférence et optimisation énergétique des modèles d’IA, garantissant une performance 
adaptée aux contraintes budgétaires et environnementales du secteur public ; 
•  Gestion et exploitation des bases de données vectorielles (RAG, API) avec possibilité de 
cloisonnement  des  accès  et  segmentation  des  données  par  utilisateur,  assurant  une 
maîtrise fine des informations traitées ; 
•  Méthodes d’apprentissage spécialisé (fine-tuning) permettant d’adapter des modèles IA 
génériques  aux  besoins  spécifiques  des  administrations,  tout  en  garantissant  la 
conformité aux principes de souveraineté numérique. 
 
Ces solutions doivent impérativement respecter les exigences de sécurité et de souveraineté 
des données, en particulier lorsqu’elles impliquent le traitement d’informations sensibles au 
sens de l'article 31 de la loi SREN. À ce titre, les solutions hébergées ou pouvant être hébergées 
sur des infrastructures qualifiées SecNumCloud par l’ANSSI, garantissant une maîtrise des flux 
de données, seront privilégiées. 
Article 2 – Valorisation des solutions sélectionnées  
Toutes les solutions lauréates de l’AMI seront présentées sur les pages d’un ou plusieurs des 
sites web de la sphère publique. La présentation des lauréats sur les sites susmentionnés ne 
dispense  pas  de  l'application  de  règles  de  la  commande  publique  dans  le  cadre  d'une 
éventuelle contractualisation. L’inscription d’une solution sur ces pages ne constitue pas une 
préqualification ou une reconnaissance d’aptitude à contracter. Elle ne vaut pas engagement 
de l’État ni droit exclusif pour les administrations concernées. 
 
•  Ces  pages  serviront  de  référence  pour  les  administrations  et  les  acteurs  publics,  en 
illustrant les usages positifs de l’intelligence artificielle, en mettant en avant des retours 
d’expérience concrets et en partageant des solutions éprouvées. 
3/9 

•  Elles  constitueront  également  une  ressource  pour  accompagner  les  organisations 
souhaitant déployer l’IA à grande échelle, en apportant des éléments de compréhension 
sur les défis rencontrés et les solutions mises en œuvre. 
•  En  parallèle,  elles  contribueront  à  faire  progresser  la  recherche  et  les  réflexions  sur 
l’impact  de  l’IA  dans  les  organisations  publiques  et  sur  les  meilleures  pratiques 
permettant d’optimiser son utilisation, promouvoir davantage leur retour d’expérience 
et favoriser le partage de bonnes pratiques. 
 
Les solutions lauréates pourront également être invitées à participer à un événement consacré 
à l’intelligence artificielle, organisé par les administrations ou leurs partenaires, en marge du 
salon VivaTech, qui se tiendra du 11 au 14 juin 2025 à Paris. Cet événement visera à : 
•  Échanger avec d’autres acteurs engagés dans la transformation numérique du secteur 
public ; 
•  Renforcer leur visibilité auprès des décideurs publics et institutionnels. 
 
Cette participation offrira une vitrine privilégiée pour exposer leur travail auprès d’un large 
public composé d’acteurs institutionnels, économiques et industriels. 
Article 3 – Critères d’éligibilité  
Les candidatures pour cet AMI doivent répondre à l’ensemble des cinq critères suivants pour 
être examinées par le Comité de sélection. 
 
1.  Soumission par une personne morale  
 
Les  candidatures  doivent  être  présentées  par  une  personne  morale  légalement  constituée. 
Peuvent notamment déposer un dossier : 
•  Les entreprises, quelle que soit leur taille (start-up, PME, ETI, grands groupes) ; 
•  Les  organismes  publics  ou  parapublics,  tels  que  les  établissements  publics,  les 
laboratoires de recherche ou les agences gouvernementales ; 
•  Les  associations  ou  consortiums,  à  condition  qu’ils  disposent  d’une  personnalité 
juridique distincte et qu’ils justifient d’un intérêt direct pour l’IA appliquée au secteur 
public. 
 
2.  Capacité  avérée  de  la  solution  à  améliorer  la  productivité  ou  à  simplifier  les 
processus 
 
Les solutions proposées doivent démontrer leur impact concret et mesurable sur l’optimisation 
des services publics, notamment en matière de : 
•  Gains de productivité ; 
•  Automatisation et simplification des processus administratifs ; 
•  Réduction des coûts et amélioration de la qualité du service rendu aux usagers. 
4/9 

 
Ne sont pas éligibles : 
•  Les recherches académiques sans plan de mise en œuvre opérationnelle ; 
•  Les cadres méthodologiques ou programmes généraux, qui ne correspondent pas à une 
solution d’intelligence artificielle spécifique et industrialisée. 
 
3.  Niveau de maturité requis 
 
Les solutions doivent être commercialisées, déjà industrialisées et, si applicable, en cours de 
mise à l’échelle. Elles doivent être accompagnées de métriques attestant de leur impact, telles 
que : 
•  Des indicateurs de performance prouvant leur efficacité ; 
•  Des données chiffrées sur les bénéfices en termes de gains de temps, de ressources ou 
de qualité de service. 
Ne seront pas retenues : 
•  Les idées ou concepts sans preuve de faisabilité ; 
•  Les  produits  en  phase  de  conception  ou  d’initiation,  qui  ne  disposent  pas  d’une 
première mise en œuvre. 
 
4.  Exclusion de tout contenu promotionnel 
 
Les candidatures doivent être dépourvues de tout contenu promotionnel ou publicitaire. Elles 
doivent se limiter aux informations essentielles permettant d’évaluer : 
•  La nature de la solution et son cadre d’application ; 
•  Le profil du soumissionnaire ; 
•  L’impact mesuré ou attendu de la solution proposée. 
 
Les  soumissionnaires  peuvent,  en  complément,  joindre  une  brochure  technique.  Celle-ci 
pourra inclure : 
•  Le contexte organisationnel dans lequel la solution a été développée ou déployée ; 
•  Les compétences mobilisées pour son intégration et son exploitation ; 
•  Les méthodes utilisées pour mesurer son efficacité et son retour sur investissement ; 
•  Des indicateurs chiffrés permettant d’évaluer son impact (par exemple : réduction des 
délais de traitement, économies budgétaires, amélioration de l’expérience usager) ; 
•  Une analyse des coûts liés à son déploiement et à sa maintenance, ainsi que la structure 
budgétaire associée. 
 
Toute présentation de type marketing ou visant à promouvoir une marque ou un produit de 
manière publicitaire pourra entraîner l’irrecevabilité du dossier. 
 
 
5/9 

5.  Conformité au cadre juridique français  
 
Les  solutions  proposées  doivent  être  conformes  aux  cadres  réglementaires  en  vigueur  en 
France,  notamment  en  matière  de  protection  des  données  personnelles,  de  cybersécurité 
(RGPD, etc.) et d’accessibilité numérique. Elles sont compatibles avec la maîtrise, la pérennité 
et  l'indépendance  du  systèmes  d'information  dans  lesquels  elles  pourraient  être  intégrées, 
auquel  les  administrations  mentionnées  au premier  alinéa  de  l'article  L.  300-2  du  code  des 
relations entre le public et l'administration veillent conformément à l'article 16 de lLOI n° 
2016-1321 du 7 octobre 2016 pour une République numérique
 
qui les encouragent par ailleurs 
dans l'utilisation des logiciels libres et des formats ouverts lors du développement, de l'achat 
ou de l'utilisation, de tout ou partie, de ces systèmes d'information. 
!
"
Le Comité de sélection se réserve le droit de juger irrecevable toute candidature qui ne 
respecterait pas l’un ou plusieurs de ces critères ou qui ne serait pas conforme aux objectifs 
et finalités de l’AMI. 

Article 4 - Modalités de soumission 
1.  Dépôt des candidatures 
 
La participation au présent AMI est gratuite. 
 
Les candidatures doivent être déposées exclusivement en ligne via le formulaire disponible sur 
la plateforme Démarches simplifiées. 
Le Comité de sélection n’examinera aucune proposition 
transmise par un autre moyen (courriel, courrier postal, dépôt physique, etc.). 
 
Les  candidats  peuvent  enregistrer  une  version  temporaire  de  leur  dossier  et  y  revenir 
ultérieurement, mais seules les candidatures finalisées et envoyées seront prises en compte. 
Tous les champs obligatoires du formulaire doivent être complétés pour que la proposition 
soit recevable. Une confirmation de réception sera envoyée par courriel une fois la soumission 
validée. 
 
Les  personnes  morales  peuvent  présenter  plusieurs  candidatures,  à  condition  que  chaque 
produit soumis relève d’une thématique distincte. 
 
Le Ministère de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification et le Ministère 
en charge de l’Intelligence artificielle et du Numérique se réservent le droit de demander aux 
candidats des informations ou documents complémentaires, afin de faciliter l’instruction des 
dossiers par le Comité de sélection. 
 
 
 
6/9 

2.  Exigences linguistiques  
 
Le formulaire de candidature doit être rédigé en français. Toute soumission dans une autre 
langue sera irrecevable. 
 
3.  Calendrier 
 
La date limite de soumission est fixée au 15 mai 2025 à 23h59 (heure d’Europe centrale - CET). 
L’ordre de soumission des dossiers n’a aucune incidence sur les chances de sélection. Toutefois, 
il est fortement recommandé de déposer les fiches produit dès que possible afin d’anticiper 
toute difficulté technique. 
 
Les candidatures reçues après la date limite ne seront ni acceptées ni examinées. 
 

4.  Contact et assistance 
 
Les candidats peuvent adresser leurs demandes de renseignements concernant des difficultés 
de soumission à l’adresse suivante : xxxxx@xxxxxxxxx.xxxx.xx. 
 
!
"
Le Comité de sélection se réserve le droit de ne pas répondre aux demandes jugées non 
pertinentes ou dont les informations sont déjà contenues dans le cahier des charges. 

Article 5 - Procédure de sélection 
1.  Comité de sélection 
 
Les candidatures jugées éligibles conformément aux dispositions des articles 3 et 4 du présent 
règlement seront examinées par un Comité de sélection composé d’experts en intelligence 
artificielle et de représentants de l’administration. 
 
Les membres du Comité seront désignés par la Direction interministérielle du numérique et 
leur composition sera annoncée ultérieurement. 
 
2.  Calendrier 
 
•  Le  Comité  de  sélection  se  réunira  fin  mai  2025  pour  examiner  les  candidatures  et 
sélectionner les produits qui seront présentés lors du salon VivaTech 2025. 
•  Tous les candidats seront informés par courriel des décisions du Comité au cours du 
mois de mai 2025. 
•  Le  Comité  de  sélection,  ainsi  que  le  Ministère  de  l’Action  publique,  de  la  Fonction 
publique et de la Simplification et le Ministère en charge de l’Intelligence artificielle et 
7/9 

du  Numérique,  ne  répondront  à  aucune  demande  d’information  individuelle 
concernant la procédure de candidature ou les résultats. 
 
3.  Critères de sélection 
 
Le Comité de sélection évaluera chaque soumission éligible sur la base des critères suivants : 
 
a)  Complétude, exactitude et transparence 
 
•  Les produits fournissant des informations complètes et précises permettant d’évaluer 
l’impact de l’IA seront particulièrement valorisés. 
 
b)  Qualité générale de la solution 
 
i. Faisabilité, cohérence et crédibilité 
 
•  Les solutions doivent démontrer que les résultats obtenus ou attendus grâce à l’IA sont 
crédibles et cohérents avec l’état de l’art technologique. 
•  Les  informations  fournies  doivent  être  les  plus  précises  possibles  afin  de  mesurer 
l’impact réel et l’usage effectif de l’IA dans les produits. 
 
ii. Impact 
 
•  L’évaluation  prendra  en  compte  l’impact  économique,  illustré  par  des  indicateurs 
mesurables, tels que : 
o  Réduction des délais ; 
o  Réduction des coûts ; 
o  Diminution des erreurs, du non-recours, etc. 
•  Évaluation du coût de déploiement de l’IA, e. g. les ressources financières, humaines et 
temporelles mobilisées 
•  L’analyse de l'impact environnemental du produit sera également valorisée (si mis en 
avant dans la brochure technique, le cas échéant) sous deux perspectives : 
o  La valeur ajoutée directe du produit pour l’environnement ; 
o  Les mesures mises en place pour atténuer l’empreinte environnementale, telles 
que : 
§  L’analyse du cycle de vie de la solution ; 
§  Une approche d’IA sobre, visant à limiter la consommation énergétique ; 
§  La conception optimisée des infrastructures de données et de calcul. 
•  Seront également valorisés : 
o  Les améliorations de la qualité des résultats pour les citoyens et les usagers ; 
o  L’amélioration des conditions de travail des agents publics ; 
8/9 

o  L’impact  en  matière  d’inclusion  sociale,  notamment  par  la  réduction  des 
inégalités d’accès aux services publics. 
 
iii. Potentiel de mise à l’échelle et de réplicabilité 
 
•  Les  produits  devront  démontrer  leur  capacité  à  être  déployés  à  grande  échelle  en 
obtenant des résultats similaires sur un périmètre élargi. 
•  Seront privilégiées les solutions pouvant être répliquées dans des organisations de tailles 
différentes ou appliquées à divers secteurs et industries. 
 
Le  Comité  de  sélection  se  réserve  le  droit  de  rejeter  toute  candidature  qu’il  jugerait  non 
conforme  aux  objectifs  et  finalités  de  l’AMI,  sans  obligation  de  fournir  une  justification 
détaillée. 
 
iiii. Adéquation et cohérence des modalités de traitement et de protection des données 
 
Les  solutions  hébergées  ou  pouvant  être  hébergées  sur  des  infrastructures  qualifiées 
SecNumCloud par l’ANSSI, garantissant une maîtrise des flux de données, seront privilégiées, 
en particulier lorsqu’elles impliquent le traitement d’informations sensibles au sens de l'article 
31 de la loi SREN. 
Article 6 - Engagements des produits sélectionnés 
Les solutions retenues dans le cadre du présent AMI s’engagent à : 
 
•  Confirmer leur participation et accepter que la présentation du produit ainsi que ses 
résultats  soient  publiés  sur  une  page  web  accessible  au  public  (ex. 
alliance.numerique.gouv.fr). 
•  Fournir les contenus et éléments visuels nécessaires (descriptions, images, supports de 
communication) afin de permettre leur validation et leur intégration sur la page web. 
9/9